Les façades sont souvent sujettes à des changements de couleur. Les traces constatées sont issues de la pollution urbaine et/ou de la pollution biologique (algues, moisissures, etc.).
La manifestation de ces traces diffère selon leur origine.
En ville, de nombreuses particules, provenant des voitures, des systèmes de climatisation et de chauffage et des excréments d’oiseaux et résidus végétaux, des zones industrielles, etc. sont en suspension dans l’air. Cela se traduit par des traces noirâtres, qui se délavent sous l’action des intempéries. Des coulures se forment, principalement à cause des phénomènes de ruissellement et de rejaillissement.
Les particules issues de la pollution biologique ont tendance à se déposer sur la façade, sous l’action du vent. Ce sont principalement des algues, des moisissures et autres champignons,
En ville, de nombreuses particules, provenant des voitures, des systèmes de climatisation et de chauffage et/ou des excréments d’oiseaux et résidus végétaux. Pour se développer, ces micro-organismes ont besoin d’un terrain propice : humidité, chaleur et luminosité.