Le délai d’exécution des travaux, ainsi que les pénalités de retard – qui s’élèvent à 1/3000ème du prix total par jour de retard, en règle générale – doivent être mentionnés dans le contrat Vente en l’État Futur d’Achèvement (VEFA). Le retard se calcule à compter de la date supposée de la livraison ; les délais sont spécifiés dans le contrat.
Il est fréquent que l’acquéreur octroie quelques jours supplémentaires au promoteur-constructeur, par tolérance (30 jours maximum). Passé ce délai, l’acquéreur est en droit de réclamer des dommages et intérêts et la mise à disposition de son bien. Cependant, en cas de force majeure ou des causes légitimes (intempéries reconnues, grève générale, par exemple), telles que définies dans le contrat, le promoteur ne peut être tenu responsable du retard.