A peu près 2/3 des constructions vendues dans l’Hexagone sont affectées par de malfaçons, à des degrés divers. Les malfaçons qui affectent la solidité et le gros oeuvre présentent de véritables dangers pour la qualité de la construction et son intégrité dans le futur.
Il y a également des défauts au niveau des fondations, en ce qui concerne leur profondeur, leur dimension, leur ferraillage.
On retrouve également des malfaçons sur la structure en béton, au niveau des chaînages, des raidisseurs.
En matière de toiture, les malfaçons ne sont pas extrêmement nombreuses, sauf si le maître d’ouvrage s’improvise à faire lui-même une partie de la charpente, dans des cas d’auto-construction.
On rencontre parfois des malfaçons sur le montage des fenêtres, notamment sur la gestion de l’eau pluviale à la surface des huisseries, comme par exemple des défauts de goutte pendante ou de larmier, de montage des coudières ou des appuis de fenêtre. Les malfaçons affectent aussi le second oeuvre, l’esthétique, etc.