Les malfaçons de la construction sont monnaies courantes. Sur le gros œuvre, certaines peuvent constituant un facteur aggravant des fissures. C’est, par exemple le cas, lorsque les fondations sont mal dimensionnées ou insuffisantes. Ou encore, en cas d’absence de joint de dilatation entre deux bâtiments, de joint de rupture et de chaînage ou raidisseurs dans les murs. Il peut, encore, s’agir d’une mauvaise mise en œuvre de la dalle béton ou de la chape. Quoiqu’il en soit, pour démontrer la responsabilité contractuelle du constructeur, il est nécessaire de s’appuyer sur une expertise technique détaillée et signée par un expert indépendant et reconnu. Sans quoi, le constructeur risque de refuser toute correction des désordres, estimant n’être en rien responsable des fissures sur la maison.